La loi Alur, promulguée le 27 mars 2014 a assoupli les conditions concernant la division parcellaire. Dans la plupart des communes, elle a notamment permis la suppression du COS ou coefficient d’occupation des sols.
Concrètement, pour les propriétaires de terrain, cela permet de pouvoir diviser plus librement une parcelle. Il n’y a par exemple plus de surface minimum pour chaque lot issu de la division. Le nombre de lots qu’il sera possible de créer à partir d’un terrain dépend donc davantage de la loi locale que d’une règle nationale. Une étude au cas par cas par le service urbanisme de la mairie est essentielle pour savoir combien de fois on peut diviser un terrain.
Il existe toutefois des exceptions.