Après 2008 et la crise financière, le marché de l’immobilier américain a été mis à mal. Mais l’économie du pays est forte et solide, et a repris son chemin haussier, comme les prix immobiliers. En conséquence, grâce à un PIB qui croit et à un taux de chômage faible, le marché de l’immobilier a retrouvé des couleurs.
Les nouvelles constructions sont nombreuses mais les mises en chantier ne sont pas si importantes dans certaines villes pourtant très attractives. Alors, à l’exception des métropoles qui sortent de terre de A à Z (comme Austin au Texas), il est possible dans de grandes villes déjà renommées de se reposer sur l’augmentation régulière des prix dans l’ancien (pour viser une plus-value).
Chamboulés par la crise qui a frappé le secteur, ou avides d’une plus grande liberté, beaucoup de foyers américains font le choix de la location. Le marché est dynamique et la demande locative est forte… avec des perspectives toujours plus grandes ! La croissance démographique est plus forte qu’en Europe.
New York, Los Angeles et Chicago constituent les grandes mégalopoles. Mais on trouve aux Etats-Unis 41 villes de plus d’un million d’habitants. Ainsi, si vous cherchez à investir dans une très grande ville, vous avez le choix. A l’inverse, la grande diversité des Etats-Unis vous permet de trouver des communes à taille humaine, des destinations touristiques qui ne sont pas prises d’assaut, etc. Les Etats-Unis, c’est le monde, avec toute sa diversité.